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Comprendre notre sommeil et l'optimiser

Par Anne Platteuw et Valentin Gentil, coach en sommeil

Introduction

Saviez vous que nous passons plus d’un tiers de notre vie à dormir? Le sommeil, bien plus qu’un simple état de repos, constitue un élément essentiel de notre vie qui influence significativement notre santé mentale et physique. Pourtant, dans notre société moderne, il est souvent relégué au second plan, passant après nos obligations ou nos moments de détente en famille ou entre amis.

Selon les dernières études, la durée moyenne de sommeil a connu une diminution constante au fil des décennies. Ces tendances actuelles sont inquiétantes, car elles laissent entrevoir une augmentation des nombreux risques liés à un sommeil insuffisant.

C'est sur ce constat que j'ai co-écrit cet article, aidée par Valentin Gentil, coach en sommeil.  J'avais à cœur de vous parler du sommeil, de son importance et de comprendre les effets du manque de sommeil, mais aussi de vous aider à retrouver un sommeil de bébé! 

Les fonctions biologiques du sommeil

Tout d’abord, il est important de comprendre ce qu’est le sommeil et à quoi il sert. Le sommeil est en effet un processus biologique complexe, aux multiples implications sur notre santé et notre fonctionnement quotidien. En voici les principales:

Mémoire et apprentissage

L’une des fonctions les plus étudiées du sommeil réside dans son influence sur la mémoire et l’apprentissage. Des recherches approfondies ont mis en lumière le rôle essentiel du sommeil dans la consolidation des informations acquises au cours de la journée. En effet, pendant les phases de sommeil paradoxal, le cerveau réactive et renforce les connexions neuronales formées lors des activités d’éveil, favorisant ainsi la rétention des connaissances. Ce processus est essentiel pour l’acquisition de nouvelles compétences et la préservation de la mémoire à long terme.

Métabolisme

Le sommeil exerce également une influence significative sur notre métabolisme, tant du point de vue scientifique que de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC). Des études ont démontré que la privation de sommeil perturbe la régulation des hormones responsables de la faim et de la satiété, conduisant à des déséquilibres alimentaires. En outre, un sommeil insuffisant altère la sensibilité à l’insuline et la régulation du glucose, des facteurs clés dans le développement de l’obésité et du diabète de type 2.

De son coté, la Médecine chinoise offre également une perspective unique sur le lien entre le sommeil et le métabolisme. Selon la MTC, le sommeil est étroitement lié à l’équilibre des énergies vitales du corps, notamment le Yin et le Yang. Une perturbation de ce flux énergétique pendant le sommeil peut entraîner des déséquilibres métaboliques.

La qualité du sommeil, selon la MTC, influence directement la circulation harmonieuse du Qi (énergie) et du Sang, essentiels au bon fonctionnement des organes internes. Une perturbation du sommeil peut conduire à une stagnation du Qi, affectant ainsi la digestion et le métabolisme des nutriments. De plus, la MTC souligne l’importance du Yin, associé au repos et à la régénération, dans la préservation de la santé métabolique.

Ainsi, selon ces deux perspectives, un sommeil de qualité va au-delà de son impact sur les hormones. Il s’agit d’un processus holistique qui maintient l’harmonie énergétique nécessaire au métabolisme équilibré. En intégrant ces perspectives, il devient évident que prendre soin de la qualité du sommeil peut contribuer à prévenir des déséquilibres métaboliques et à promouvoir une santé globale.

Immunité

La relation entre le sommeil et le système immunitaire est une autre facette essentielle à considérer. Des études ont révélé que des nuits de sommeil réparateur renforcent la réponse immunitaire de l’organisme. En effet, c’est pendant le sommeil que le système immunitaire libère des cytokines, des protéines essentielles pour la défense contre les infections. Ainsi, un sommeil de qualité contribue à renforcer nos défenses naturelles et à prévenir certaines maladies.

Ces différentes dimensions du sommeil illustrent à quel point ce processus biologique est fondamental pour notre santé globale. Il ne s’agit pas seulement de se reposer, mais de permettre à notre organisme de fonctionner de manière optimale, en favorisant la consolidation des connaissances, le maintien d’un métabolisme équilibré et le renforcement de nos défenses immunitaires.

Les différentes phases du sommeil

Le sommeil n’est pas un état uniforme, mais plutôt un processus dynamique qui évolue à travers différentes phases, chacune avec des caractéristiques distinctes et un rôle spécifique dans la régénération physique et mentale. Ces phases se succèdent pour former des cycles.

Le sommeil léger

Le sommeil léger, également connu sous le nom de sommeil non paradoxal, constitue la première phase du cycle du sommeil. Il se divise en quatre stades, allant d’une transition légère du sommeil à un sommeil plus profond. Au fur et à mesure que l’on progresse à travers ces stades, l’activité cérébrale ralentit progressivement, les muscles se relâchent et la respiration devient plus régulière.

C’est durant cette phase que se produit la régénération physique. Les tissus musculaires se réparent, les hormones de croissance sont libérées, favorisant la reconstruction cellulaire, et le système immunitaire renforce ses défenses. De plus, le sommeil léger joue un rôle crucial dans la récupération de l’énergie dépensée au cours de la journée, permettant ainsi de se réveiller rafraîchi et revitalisé.

Le sommeil paradoxal

Le sommeil paradoxal, en revanche, se caractérise par une activité cérébrale intense, similaire à celle de l’éveil. C’est à ce stade que surviennent les rêves les plus vifs et les mouvements oculaires rapides qui lui donnent son nom. Bien que les muscles du corps soient temporairement paralysés, l’activité cérébrale est intense et stimulante.

Cette phase joue un rôle crucial dans la consolidation de la mémoire, en particulier pour les événements récents et les apprentissages complexes. De plus, le sommeil paradoxal semble être essentiel pour le traitement des émotions et la régulation du stress. Il contribue également à l’équilibre émotionnel et à la santé mentale globale.

Comprendre ces différentes phases du sommeil permet d’appréhender l’importance de chacune d’entre elles pour notre bien-être physique et mental. Chaque phase contribue de manière unique à la récupération, à la consolidation des connaissances et à l’équilibre émotionnel, soulignant ainsi l’impact profond du sommeil sur notre qualité de vie.

Les cycles du sommeil

Les phases de sommeil dont nous avons parlé ci-dessus s’inscrivent dans un cycle de sommeil. Une « nuit idéale » est composée de 5 cycles de 1h30 de sommeil par nuit. Ajoutez 15 minutes pour vous endormir et 15 minutes pour émerger; vous obtenez 8 heures passées au lit. 

En plus de ces 5 cycles, s’ajoute un 6e cycle « bonus » dans le courant de l’après-midi. C’est pendant ce créneau horaire très précis que vous pouvez faire une sieste de 10, 20, 26 minutes ou même 1h30, un cycle complet.


N’essayez pas de dormir en dehors de vous 6 cycles de sommeil quotidien, car votre corps n’est pas calibré pour générer du sommeil en dehors de ces cycles. 

Imaginez, vous ne parvenez pas à vous endormir pour votre premier cycle de sommeil. Détendez-vous. Vous prendrez le prochain cycle 1h30 plus tard et vous compenserez le manque de sommeil avec une sieste de 15 minutes dans votre voiture, dans une salle de réunion ou n’importe où ailleurs.

Il est important de vous détendre en cas d’insomnie, car les pensées stressantes produisent du cortisol (hormone du stress) qui rend le sommeil impossible. C’est un cercle vicieux à briser en vous rappelant que la sieste est là pour vous. 

Concrètement, pour une personne qui se lève à 7h30 du matin, la période de sieste est comprise entre 14h30 et 16h00. Pour une personne qui se lève à 6h00 du matin, la période de sieste est comprise entre 13h00 et 14h30. Le principe sous-jacent est « votre heure de levé (exposition au soleil) + 7h00 = début de la période de sieste pendant 1h30.

Variations du sommeil

Le sommeil, loin d’être un processus universel et immuable, subit des variations significatives tout au long de la vie et entre les individus.

Variation du sommeil au cours de la vie

Le cycle du sommeil évolue de manière remarquable au fil des différentes étapes de la vie. Les nouveau-nés, par exemple, passent la majeure partie de leur temps en sommeil paradoxal, crucial pour leur développement cérébral et physique. Les enfants en âge préscolaire, quant à eux, ont besoin d’un temps de sommeil plus long pour favoriser leur croissance et leur apprentissage. Avec l’adolescence survient un changement significatif, où le rythme circadien subit un décalage naturel, conduisant souvent à des horaires de sommeil décalés. Les adultes, d’autre part, nécessitent en moyenne entre 7 à 9 heures de sommeil pour maintenir un fonctionnement optimal. Enfin, les personnes âgées tendent à avoir des périodes de sommeil plus fragmentées, avec des réveils fréquents pendant la nuit.

En outre, une récente étude montre que les saisons impactent également la quantité de sommeil dont notre corps a besoin. Ainsi, en hiver, nous avons besoin d’une à deux heures de sommeil supplémentaireCertains évènements peuvent aussi augmenter temporairement notre besoin de sommeil: la grossesse, la dépression, le burn-out, la maladie et la convalescence, mais aussi un évènement traumatique tel que la perte d’un être cher, un changement de cadre de vie ou la fin d’une relation. Il est important d’être à l’écoute de son corps autant que faire se peut et de s’octroyer des moments de repos, comme des siestes ou des grasses matinées.

Variation du sommeil entre les individus

Outre les différences observées à travers les phases de la vie, le sommeil est également fortement influencé par des facteurs individuels, notamment génétiques et environnementaux. Certaines personnes sont naturellement des « marmottes », nécessitant plus de sommeil pour fonctionner pleinement, tandis que d’autres peuvent se sentir revitalisées avec moins d’heures de repos. Les gènes jouent un rôle crucial dans la détermination de ces besoins en sommeil, mais l’environnement et les habitudes de vie ne sont pas en reste. Des facteurs tels que le niveau d’activité physique, l’exposition à la lumière naturelle, la gestion du stress et les habitudes alimentaires peuvent tous influencer la qualité et la quantité de sommeil dont une personne a besoin.

Comprendre ces variations du sommeil permet d’appréhender l’importance de prendre en compte les besoins individuels et les étapes de la vie pour garantir un sommeil de qualité et, par extension, favoriser une santé optimale. En adaptant nos habitudes et notre environnement en fonction de ces variations, nous pouvons optimiser notre bien-être global.

Les conséquences d’un sommeil insuffisant

Nous l’avons vu, le sommeil, bien qu’il puisse parfois sembler négligeable face aux exigences de la vie quotidienne, joue un rôle fondamental dans notre santé globale. Son absence ou son insuffisance peut engendrer un éventail de conséquences néfastes, tant sur le plan physique que mental.

Impact sur la santé physique

Un sommeil insuffisant est étroitement lié à de multiples problèmes de santé physique. Parmi les plus préoccupants figurent l’hypertension artérielle, qui peut découler d’une régulation altérée du système cardiovasculaire en l’absence de repos adéquat. De plus, une privation chronique de sommeil a été associée à un risque accru d’obésité. Les mécanismes sous-jacents à cette corrélation complexe impliquent des déséquilibres hormonaux qui régulent la faim et la satiété, ainsi qu’une réduction de l’activité physique due à la fatigue persistante. En outre, le diabète de type 2 est une autre conséquence grave d’un sommeil inadéquat. Les perturbations du cycle circadien peuvent perturber la régulation de la glycémie, contribuant ainsi au développement de cette maladie métabolique.

Impact sur la santé mentale

Le sommeil exerce une influence profonde sur notre bien-être mental. Une privation de sommeil chronique a été associée à un risque accru de troubles de l’humeur, tels que la dépression et l’anxiété. Les mécanismes exacts de cette relation complexe sont encore l’objet de recherches approfondies, mais il est évident que le sommeil joue un rôle crucial dans la régulation des neurotransmetteurs et des processus neurochimiques qui affectent notre humeur et nos émotions. De plus, un sommeil de qualité est essentiel pour consolider les souvenirs et favoriser un fonctionnement cognitif optimal, des aspects intrinsèquement liés à notre bien-être mental global.

Il est donc impératif de reconnaître l’impact considérable du sommeil sur notre santé physique et mentale. En accordant une attention particulière à nos habitudes de sommeil, nous pouvons non seulement améliorer notre qualité de vie, mais également prévenir un éventail de problèmes de santé potentiellement graves. Un sommeil de qualité est véritablement un pilier fondamental pour un bien-être complet.

Conseils pour améliorer la qualité du sommeil

Favoriser un sommeil réparateur et de qualité nécessite l’adoption de pratiques d’hygiène du sommeil et de routines pré-coucher adaptées. Voici quelques conseils essentiels pour optimiser vos nuits et maximiser les bienfaits du repos.

Pratiques d’hygiène du sommeil

La toute première action pour votre sommeil est d’établir un horaire de sommeil régulier. Mais si vous deviez choisir entre dormir à la même heure tous les soirs ou vous lever à la même heure le matin, concentrez vos efforts sur le matin. En effet, c’est le matin que vous allez régler l’horloge biologique de votre corps (oui, elle existe vraiment!) en vous exposant à la lumière naturelle du soleil (ou du ciel gris). Votre heure d’endormissement naturelle se synchronise avec votre heure d’exposition à cette lumière naturelle.


Par exemple, si vous vous levez à 7h30 du matin, le soir suivant vous aurez naturellement envie de vous endormir à 00h00. Si vous vous levez à 9h00 du matin tous les matins, alors vous serez réglé sur 1h30 du matin pour vous endormir. C’est mécanique. 

Je vous entends penser : qu’en est-il de l’hiver ? Le soleil se lève à 8h30 et moi à 6h00 !

Procurez-vous une lampe de luminothérapie et exposez vous à sa lumière le matin durant votre petit déjeuner, votre douche, votre toilette, etc.

Voici une liste des lampes de luminothérapie recommandées par Valentin Gentil, coach du sommeil et co-auteur de cet article : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1GHKK8t3CDxG906nruQF1MkkcqCV6087rZTpago-oVzU/edit?usp=sharing

Un deuxième élément consiste à créer un environnement propice au sommeil. Assurez-vous que votre chambre soit confortable, sombre, calme et fraîche. On préconise une température de comprise entre minimum 16 et maximum 19°C.

  • En-dessous de 16°C = trop froid pour votre corps : vous vous réveillez pour vous mettre en sécurité et ne pas mourir de froid (réponse primitive du cerveau)
  • Au delà de 19°C, votre production de mélatonine naturelle (votre hormone du sommeil) s’effondre. Vous vous réveillez. 

Investissez également dans de bons rideaux qui vous permettront d’occulter votre chambre en temps voulu et de la garder au frais en été. Offrez-vous aussi un matelas et des oreillers de qualité pour favoriser un soutien adéquat du corps et un confort maximal. 

Les qualités d’un bon matelas

  • Minimum 90 cm de largeur / personne
  • Minimum 180 cm de largeur pour 2 personnes
  • Hypoallergisant (Matelas et Draps) : il ne laisse pas les acariens se développer.
  • Adapté à votre morphologie : il aligne votre colonne vertébrale lorsque vous êtes allongés. 

Les autres technologies et arguments marketing sont futiles pour le choix d’un matelas. Par exemple, la mousse mémoire de forme crée une surchauffe du corps. Les technologies à bulles d’air avec ressort ensachés et 2405 points de d’appuis sont inutiles tant que votre colonne vertébrale est alignée. 

Prévoyez également de changer régulièrement votre linge de lit (chaque semaine!) et de laver vos draps à 60°C. Pensez à employer une alèse qui préservera votre matelas de la sueur et des taches et qui créera une barrière entre les acariens et vous pour éviter tout problème de démangeaison ou de trouble de la respiration. Pensez également à aspirer régulièrement votre matelas.

Troisième point important, évitez les stimulants avant le coucher, et ce déjà plusieurs heures avant! Il y a bien sur les stimulants que nous connaissons tous: caféinethéineguarana et autre boissons énergisantes (à éviter dès 16h) mais il y a aussi des stimulants auxquels on ne pense pas nécessairement, comme la nicotine, présente dans les cigarettes et la lumière bleue émise par les écrans de télévision, d’ordinateur et de téléphone qui peut perturber la production de mélatonine, une hormone essentielle pour réguler le sommeil. Évitez donc l’exposition à ces écrans au moins une à deux heure avant le coucher.

Routines avant le coucher

  1. Éviter les activités stimulantes : Évitez les activités qui peuvent augmenter l’excitation, comme regarder des films d’action, faire un sport intensif ou effectuer des tâches stressantes. Privilégiez plutôt des activités relaxantes comme la lecture, la méditation ou le yoga.
  2. Établir une routine apaisante : Mettez en place une série de rituels relaxants avant de vous coucher, comme prendre un bain chaud, pratiquer des exercices de respiration profonde, boire une tisane de camomille ou de tilleul ou écouter de la musique douce.
  3. Éviter les repas lourds et alcoolisés : Évitez les repas copieux et l’alcool avant le coucher, car ils peuvent perturber la qualité de votre sommeil. Optez plutôt pour un repas léger et équilibré, riche en glucides complet et en légumes.

En mettant en pratique ces conseils, vous pouvez créer un environnement propice au sommeil et adopter des habitudes qui favorisent un repos de qualité. En accordant de l’importance à votre sommeil, vous pouvez améliorer significativement votre bien-être global et votre qualité de vie.

Conclusion

En conclusion, le rôle essentiel du sommeil dans notre santé physique et mentale est incontestable, comme l’ont clairement démontré les recherches et études. Les fonctions biologiques du sommeil, impactant la mémoire, l’apprentissage, le métabolisme et le système immunitaire, soulignent son rôle vital pour notre quotidien. La diversité des phases du sommeil éclaire les mécanismes complexes de notre repos nocturne.

Bien que les besoins en sommeil varient selon les stades de la vie et les individus, les conséquences néfastes d’un sommeil insuffisant sur la santé physique (hypertension, obésité, diabète) et mentale (dépression, anxiété) sont indiscutables. Heureusement, des pratiques d’hygiène du sommeil et des routines pré-coucher adaptées offrent des moyens concrets d’améliorer la qualité du sommeil.

Investir dans un sommeil de qualité est un acte en faveur de notre bien-être individuel et contribue à une société plus équilibrée. Prendre soin de notre sommeil équivaut à prendre soin de notre santé globale et de notre qualité de vie. En cas de difficulté, il est crucial de consulter un professionnel de la santé ou du sommeil. Des solutions naturelles, comme le massage ou le shiatsu, les fleurs de Bach, la gemmothérapie ou la phytothérapie existent. N’hésitez pas à m’en parler lors de nos rendez-vous. Enfin, vous pouvez également vous faire accompagner par des professionnels tels que Valentin Gentil, coach du sommeil, qui peuvent également jouer un rôle bénéfique dans la quête d’un sommeil réparateur et paisible. Bonne nuit!

Sources

Saisonnalité dans le sommeil humain (en anglais)

Dossier Sommeil – INSERM

Centre de recherche Douglas

Partenaire


Valentin Gentil est coach en sommeil et a accompagné plus de 800 personnes ces dernières années pour leur permettre de se réveiller au top de leurs capacités.

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Comprendre notre sommeil et l'optimiser
An'massté 23 mai 2024
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Grand ménage de printemps